mercredi 27 août 2008, par cyrille
C’est le moment de démontrer le sérieux du mouvement espérantophone, et d’interpréter le discours le mieux possible. L’orateur va développer ses idées, plus ou moins complexes, avec ou sans notes. Si l’interprète l’interrompt tous les trois mots, le résultats risque d’être bien peu flatteur pour l’évènement, et pour l’espéranto.
Le défi est d’arriver à prendre des notes, déverbaliser le discours, et le reconstruire par la suite dans l’autre langue, à l’aide de sa mémoire et des notes.
C’est dans cette optique qu’Espéranto-France a organisé une formation avec l’université de Strasbourg en 2007-2008, et que nous proposons une prochaine session à Paris en 2008-2009, ou l’année d’après s’il y a trop peu de candidats.
L’exemple proposé dans cet article vous permettra de vous entrainer sur un cas réel.
Pour vous entrainer en traduction à vue, vous pouvez également partir de cet exemple réel : http://esperanto10.free.fr/fichiers/fr/alloc.html
N’hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements.